Une enquête de la répression des fraudes réalisée en 2015 révèle que près d’un vendeur de voitures d’occasion sur deux tente de tromper son client. Voici nos conseils pour votre prochain achat.
En 2015, un établissement sur deux spécialisé dans la vente de véhicules a commis une infraction, toujours au détriment du consommateur. C’est ce que montre une enquête menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sur 1471 établissements. Les marchands et négociants indépendants sont à l’origine du plus grand nombre d’infractions. Parmi elles: les fausses premières mains. Certains vendeurs affichent la mention au prétexte que le véhicule n’a été immatriculé qu’une fois. Or le numéro d’immatriculation est désormais définitif, de la mise en circulation à la destruction. Autre arnaque très répandue, la minoration du kilométrage. Le bilan de l’enquête prend pour exemple un véhicule vendu par un casseur. L’engin présentait 55 000 km au compteur contre 347 000 en réalité.La DGCCRF pointe également les défaillances en ce qui concerne les informations sur le prix, les caractéristiques des véhicules et les services connexes. Par comparaison, en 2012, seuls 20% des vendeurs avaient perpétré de telles infractions contre 47% en 2015.
Ce qu’il faut savoir lors de l’achat d’une voiture d’occasion
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14 mai 2016 | Catégorie: non classé