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Dans son ouvrage Le Simili-Nobiliaire français (Ed. Sedopols, 1er juin 2010, 816 pages), l’historien Pierre-Marie Dioudonnat recense les quelque 6000 familles françaises dont le patronyme présente une apparence nobiliaire, alors qu’elles n’ont jamais appartenu à la noblesse française (notamment « Giscard d’Estaing» ou «de Villepin»).
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Dans cet ouvrage figure la notice suivante : «Les actuels Y de Z forment un rameau adoptif de la famille de ce nom qui appartenait à l’ancienne noblesse du Languedoc et est éteinte dans les mâles. Ce rameau est issu de Jean X, né le … à Perpignan (Pyrénées-Orientales), fils de Marthe de Y de Z, née le … à  Caudeval, décédée le 4 Février 1986 à Perpignan, épouse en 1948 du général Pierre C. Titre : comte .. (les Y de Z avaient reçu celui de vicomte en 1814). Alliance : Bory (1957) ».

En décembre 2011, Jean de Y de Z et son fils Christophe de Y de Z attaquent l’auteur et son éditeur devant le tribunal de grande instance de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour obtenir la suppression de leur nom de famille dans les prochaines éditions de l’ouvrage, ainsi que des dommages et intérêts. Ils reprochent principalement à l’auteur d’avoir révélé l’adoption de Jean de Y de Z sans que l’autorisation lui en ait été donnée, et d’avoir ainsi porté atteinte à l’intimité de sa vie privée. Ils lui reprochent aussi de défendre la thèse selon laquelle une filiation adoptive serait sans valeur, au regard d’une filiation par le sang, ce qui leur causerait un préjudice moral.
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Informations déjà publiées

Pierre-Marie Dioudonnat indique que …

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