Publié le : 13/10/2017
Oubliée par Bruxelles dans la future norme d’homologation des véhicules, la disparition de la prise OBD (on board diagnostic) en 2018 risque de compromettre la possibilité à tous les réparateurs d’intervenir sur les véhicules. Et donc la liberté de choix du réparateur pour les automobilistes.
La prise OBD (on board diagnostic), permettant le diagnostic du véhicule par tous les réparateurs (voir encadré), risque de devenir le dommage collatéral du dieselgate et de l’arrivée de la voiture connectée. En effet, acculée par la pression des États, la Commission européenne a rédigé à la hâte un nouveau règlement (2016-031) régissant les règles d’homologation des véhicules. Mais, bâclé, le projet de loi ne mentionne nulle part l’obligation des constructeurs d’équiper leurs véhicules du précieux connecteur OBD et ne cadre pas la mise à disposition des informations techniques à tous les réparateurs.
DES CONSÉQUENCES MULTIPLES