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Huîtres. Ce qu’il y a sous la coquille

# huîtres

Pour choisir des huîtres à votre goût, outre la variété et la fraîcheur, d’autres ­informations sont à votre disposition.

 

LEUR ASPECT NOUS RENSEIGNE

À défaut de voir à travers les coquilles, l’observation de la bourriche et la lecture de l’étiquette apportent quelques renseignements.

D’abord, la forme, plate ou creuse. Les huîtres creuses, plus charnues, détiennent le quasi-monopole de la consommation. Les plates (ou belons), plus petites et délicates, sont plus rares (1 % des volumes) et plus chères.

Ensuite, la taille. Le calibre indique le poids de l’huître par un numéro, de 0 à 5 pour les creuses, et de 000 à 5 pour les plates. Plus le chiffre est faible, plus l’huître est grosse, la n° 3 étant la plus consommée. Pour les creuses, les dénominations « spé­ciales » et « fines » indiquent le taux de chair. Les spéciales, beaucoup plus charnues, ont une couleur blanche du fait de réserves en sucres procurant un goût particulier… plus sucré. Plus onéreuses, elles sont plutôt prisées par un public de connaisseurs. Les fines sont claires, avec une coloration gris perlé, voire translucides, et ont une note marine et iodée. Elles se consomment crues. Le goût d’une huître dépendra de la variété, mais aussi du milieu dans lequel elle passe ses dernières semaines : salinité de l’eau, nature des planctons… Ainsi, celles affinées en pleine mer ont un goût iodé plus prononcé que celles affinées en bassins, appelés « claires ».

Enfin, la fraîcheur. Une huître doit être …

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