En 2016, le blog Sosconso a relaté l’histoire de Raymond Barbier, ingénieur agronome retraité, démarché en février 2014 par un commercial de la société Solisol. Il signe un bon de commande pour le ravalement de sa façade et le changement de trois fenêtres.
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Le coût, de 18 000 euros, sera financé par un crédit affecté de Sofinco. Les travaux ont lieu en mai 2014. Les menuiseries en PVC des fenêtres sont posées « correctement », indique M. Barbier, ancien ingénieur du Conservatoire national des arts et métiers, « mais le ravalement est une catastrophe »: « Le mur n’est pas lisse comme il le devrait, mais crépi », si bien que sa maison « ne ressemble pas à celles des voisins du village de Rians (Var) ».
Il fait une réclamation auprès de Solisol, mais l’entreprise lui répond qu’il a signé un bon de réception de fin de travaux, ce qui atteste de sa satisfaction. Or M. Barbier affirme qu’il s’agit d’un faux: il n’a pas signé ce bon, dont la date (28 mars 2014) ne correspond pas à celle de la fin des travaux, intervenue en mai 2014.
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Suspension du remboursement
Raymond Barbier suspend le remboursement de son crédit, « subit un véritable harcèlement des huissiers », et se fait assigner par …
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