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Fin de vie : faire respecter ses choix en 4 points

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Quel que soit votre âge ou votre état de santé, vous pouvez rédiger des directives anticipées pour préciser vos souhaits médicaux.

Vos directives anticipées seront utiles aux médecins dans l’hypothèse où, en fin de vie, vous ne seriez plus en capacité de communiquer votre volonté (après un accident grave ou en phase avancée ou terminale d’une affection incurable). Actuellement, seuls 2,5 % des Français ont rédigé leurs directives anticipées. La création d’un modèle et une campagne du ministère de la Santé (jusqu’au 20 mars 2017) devraient encourager ce choix.

1/ Les dispositions à prévoir

Il n’y a pas de bonnes ou mauvaises directives anticipées. Ce qui importe, c’est de faire connaître votre décision. Vous évitez à vos proches et aux médecins d’avoir à présumer votre volonté en pareilles circonstances.

La décision principale est d’indiquer si vous souhaitez ou non que l’on vous maintienne artificiellement en vie dans le cas où vous auriez définitivement perdu conscience et où vous ne pourriez plus communiquer avec vos proches. Les situations médicales visées sont les plus extrêmes, avec souvent des lésions cérébrales majeures et irréversibles.

Vous pouvez aussi faire part de votre volonté de recevoir ou pas des actes et traitements médicaux (que vous pouvez détailler) s’ils apparaissent inutiles, disproportionnés, compte tenu de votre état de santé, ou s’ils n’ont d’autre effet que le seul maintien de la vie. Dans le langage courant, on parle « d’acharnement thérapeutique ».

Enfin, vous pouvez exprimer votre volonté de bénéficier d’une sédation profonde et continue jusqu’au décès dans l’hypothèse où les traitements vous maintenant en vie seraient arrêtés.

2/ Rédiger vos directives

Les directives anticipées prennent la forme d’un …

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