Qui n’a pas eu l’occasion de pester lorsque son lave-linge, son four, ou même son rasoir tombé en panne au bout de 2 ans alors que les modèles précédents avaient duré de nombreuses années sans la moindre défaillance. Nous sommes de la même façon nombreux à râler lorsque la dernière mise à jour du smartphone ralentit considérablement son fonctionnement, sans qu’on n’y puisse rien.
Enfin, être informé de la disponibilité des pièces détachées des appareils afin de savoir si la réparation sera envisageable plutôt qu’une inéluctable mise au rebut, c’est une exigence forte de la plupart d’entre nous. Et comme nous tous, j’attends que les choses changent. Si l’effectivité de la garantie légale à 2 ans avec l’extension de la présomption de conformité est une réelle avancée, la condamnation pour délit d’obsolescence programmée risque de rester une chimère tant il est complexe de démontrer le caractère intentionnel des fabricants. Quelques signaux nourrissent néanmoins l’espoir d’un renforcement de la lutte contre l’obsolescence, sinon programmée, du moins organisée…
A Bruxelles d’abord, où dans le cadre de l’examen du …
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