Billets d’avion, assurances, électroménager… : trois Français sur quatre utilisent des comparateurs. Mais les informations ne sont pas toujours fiables. A partir du 1er juillet, les règles seront plus sévères.
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A partir du 1er juillet 2016, de nouvelles obligations pèsent sur les comparateurs en ligne (décret du 22 avril 2016). L’objectif est d’apporter aux consommateurs une « information loyale, claire et transparente ».
Les abus des comparateurs
Les services de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) constatent régulièrement que les informations qui sont affichées sur les comparateurs sont « incomplètes voire inexactes ». En particulier sur les tarifs.
Le prix décortiqué
Les consommateurs doivent être informés sur les caractéristiques essentielles des biens et services comparés.
En particulier des prix, incluant tous les frais (livraison, annulation…), commissions, intérêts et taxes, ainsi que les éventuelles garanties commerciales.
Comparaison ou publicité ?
Le site doit afficher le caractère publicitaire d’une offre référencée à titre payant en la signalant comme « Annonce ».
Le consommateur doit aussi être informé :