L’utilisation des génériques progresse. Mais les médecins sont encore peu nombreux à prescrire le nom de la molécule au lieu de celui de la marque.
Les avancées sont multiples, estime l’organisme chargé de piloter ce plan triennal 2015-2018, qui comporte 80 mesures et vise une baisse des dépenses de médicaments de 350 millions d’euros. L’Igas pointe ainsi l’utilisation des logiciels d’aide à la prescription ou les efforts pour rendre le nom des molécules plus visibles sur les boîtes de médicaments.
Utiliser le nom de la molécule
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