Sans céder à l’idée que la nature serait notre unique coach santé (la science l’a, de son côté, davantage considérée comme un désordre à améliorer), il importe pourtant de redresser la barre. Et de respecter notre ego/écosystème et celui de la Terre. Revue de détails en 7 recommandations.

Je limite la viande

Le constat. Saviez-vous que la production d’un seul kilo de viande de bœuf demande 4 à 5 kilos d’aliments et 15 .000 litres d’eau  ? En octobre dernier, l’OMS a de nouveau pointé les ravages pour la santé d’une surconsommation de viande rouge, qui accumule trop de gras et pas assez de fibres. Cet excès à l’échelle planétaire entraîne le développement de cheptels importants et de cultures qui prélèvent leur espace vital sur la forêt (notamment en Amazonie). Or, l’élevage est responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre impliqués dans le réchauffement climatique. « Depuis les années 1950, on a troqué une alimentation riche en fibres et en céréales contre une surconsommation de viande dans tous les pays riches », explique le Dr Lylian Le Goff, médecin environnementaliste (2). Ces mêmes pays où quelque 25 % de la nourriture achetée finit à la poubelle… Il est temps de réagir.

La solution.

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